Gestionnaires de fortune
depuis 1997
Fondée en 1997 à Genève, Priban SA est une société de droit suisse dont l’objet est la gestion de fortune pour une clientèle suisse et internationale. Forte d’une longue et solide expérience bancaire, l’équipe Priban SA offre une véritable écoute à ses clients et un service hautement personnalisé, ce en toute discrétion et confidentialité.
Travaillant en collaboration avec une dizaine de banques de premier ordre, Priban SA demeure indépendante de toute attache bancaire, ce qui garantit une totale objectivité dans le choix de ses investissements et une absence de conflits d’intérêt.
Membre de l’Association Suisse des Gérants de Fortune (ASG), Priban SA détient l’autorisation d’exercer une activité de gestionnaire de fortune octroyée par la FINMA, l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers. Par ailleurs, Priban SA est soumise à la surveillance courante de l’AOOS, la Société Anonyme Suisse de Surveillance.
Priban SA est également affiliée à l’Ombud Finance Suisse (OFS), un organe de médiation indépendant.
Développer avec le client une relation solide à long terme, basée sur la confiance
Chroniques Récentes
ni de la publicité pour une quelconque entité citée
Cocori KO ou OK ? – Septembre 2024
Peu d’élections nationales ont soulevé autant de passions et suscité tant de réactions et de faits divers, où la haine l’a disputé au mépris, que celles qui se sont déroulées il y a quelques semaines en France. On le sait, leur principe avait été décidé par le Président de la République, décontenancé par le résultat de la
Changements au sein de l’équipe – Août 2024
Le but de cette chronique n’est pas d’analyser les transferts qui peuvent se négocier dans les domaines du football, mais bien de nous concentrer sur le domaine d’investissement de chacun d’entre nous.
A plusieurs reprises, nous avions insisté sur la nécessité d’envisager les placements dans une optique longue, de plusieurs années ; il n’en demeure pas moins que…
« Un âne ne tombe pas deux fois dans le même sable mouvant, le sot ; oui » – Juillet 2024
Il y a plus de 8 ans, décrivant la situation alors catastrophique de la Grèce, nous avions consacré une courte chronique au pays, dévasté par l’incompétence avide de ses créanciers qui envisageaient froidement sa disparition. Nous l’avions intitulé « La mort de l’âne », épuisé à force de privations. Le temps a passé et nous avons à faire maintenant à une autre nation